Les bactéries intestinales pourraient être un facteur de risque de cancer de l’intestin

Les bactéries intestinales pourraient être un facteur de risque de cancer de l'intestin

Une équipe de chercheurs de l’Université de Bristol a récemment découvert qu’un groupe spécifique de bactéries intestinales augmentait le risque de cancer de l’intestin de près de 15 %. Les chercheurs ont utilisé une nouvelle méthode pour détecter les bactéries intestinales. Aux États-Unis cette année, 44 000 nouveaux cas de cancer du rectum et 100 000 nouveaux cas de cancer du côlon ont été détectés. Le cancer de l’intestin est la troisième cause de décès par cancer chez les deux sexes. Et seulement 4,2 % d’entre eux l’ont détecté à un stade précoce. Les chercheurs n’ont pas encore été en mesure de détecter les causes réelles du cancer de l’intestin. Des études antérieures ont montré que l’obésité, la consommation élevée de viande rouge, les aliments frits, le tabagisme et moins d’activité physique étaient quelques-uns des facteurs de risque de cancer de l’intestin. La génétique s’est également avérée jouer un rôle majeur dans l’origine du cancer.

La découverte de bactéries intestinales comme facteur de risque est un nouvel élément dans la liste des risques de cancer colorectal. Les chercheurs ont comparé leurs données avec le Flemish Gut Flora Project, l’étude German Food Chain Plus et l’étude PopGen. À diverses occasions, les bactéries intestinales ont montré un lien avec le cancer de l’intestin. La randomisation mendélienne a été appliquée pour comprendre le lien entre les variations génétiques héritées au hasard, telles que les altérations des bactéries intestinales, et les facteurs de risque. La variation de la constitution génétique et du microbiome intestinal a un lien avec l’origine du cancer du quilleur. Les chercheurs ont découvert que les Bacteroidales augmentaient les risques de cancer de 2 à 15 %. Le rôle de la bactérie dans l’enracinement du cancer fait l’objet de recherches.

De même, les médecins de l’Université de Nottingham ont développé un nouveau test sanguin pour détecter le cancer du sein en utilisant 9 biomarqueurs couramment trouvés. Le test sanguin devrait arriver sur le marché d’ici 2025. Le test sanguin aidera à établir un diagnostic précoce sans avoir besoin d’autres méthodes invasives. Selon les données de l’OMS, près de 2,1 millions de femmes sont atteintes d’un cancer du sein et, par conséquent, cette nouvelle méthode peut aider à rendre le diagnostic plus facile pour les femmes en raison de son faible coût et de sa complexité.